Face à une algie pelvienne, l’échographie peut dépister les grossesses extra-utérines, les fausses couches spontanées, mais aussi l’inflammation d’un fibrome ou une torsion de kyste de l’ovaire.
Face à des douleurs chroniques, elle permet de détecter des pathologies responsables de douleurs présentes depuis plusieurs semaines ou mois comme des fibromes utérins ou encore de l’endométriose.
Face à des saignements anormaux, elle dépiste certaines pathologies comme un polype utérin, un myome ou une adénomyose qui correspond à de l’endométriose dans le muscle utérin.
Face à l’infertilité d’un couple, l’échographie gynécologique occupe une place capitale et permet de dépister les malformations de l’utérus, de l’endomètre, des trompes, et des ovaires. Elle permet également d’évaluer la réserve ovarienne par le compte des follicules antraux.
Lors d’un parcours PMA, elle permet de réaliser le monitoring de l’ovulation.
Une échographie pelvienne peut être réalisée de 2 manières : par voie abdominale et/ou voie vaginale.